Blog du fooding

« 6 euros de l’heure » signé par Adéola Desnoyers de Marbaix-Bordé

« 6 euros de l’heure » signé par Adéola Desnoye...

Sénégalais, Sri-Lankais, Comoriens… À la plonge comme aux fourneaux, les rangs de la restauration tricolore seraient bien amaigris sans sa main-d'œuvre immigrée, dont elle ne peut plus se passer. Souvent précaires, parfois sans papiers, trop rarement naturalisés, ces travailleurs nés ailleurs incarnent par la diversité de leurs itinéraires l’ambivalence que...

« 6 euros de l’heure » signé par Adéola Desnoyers de Marbaix-Bordé

Sénégalais, Sri-Lankais, Comoriens… À la plonge comme aux fourneaux, les rangs de la restauration tricolore seraient bien amaigris sans sa main-d'œuvre immigrée, dont elle ne peut plus se passer. Souvent précaires, parfois sans papiers, trop rarement naturalisés, ces travailleurs nés ailleurs incarnent par la diversité de leurs itinéraires l’ambivalence que la société française entretient avec ses étranger·ères.

« Chroniques du croque SNCF » signé par Paulette Gallix

« Chroniques du croque SNCF » signé par Paulett...

Du caneton nantais aux navets à la salade de lentilles corail détrempée, l’innovation à grande vitesse a fait dérailler le wagon-bar. Entre coups (de mou) marketing, prestataires adeptes du plateau aéronautique et préférence pour le made in France, plongée dans les menus de la SNCF où, sous son vernis kitch, le...

« Chroniques du croque SNCF » signé par Paulette Gallix

Du caneton nantais aux navets à la salade de lentilles corail détrempée, l’innovation à grande vitesse a fait dérailler le wagon-bar. Entre coups (de mou) marketing, prestataires adeptes du plateau aéronautique et préférence pour le made in France, plongée dans les menus de la SNCF où, sous son vernis kitch, le croque boute-en-train continue de passionner les aventurier·ères du rail.